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Nouvelles publications

MALCOLM ÉCRIT

MALCOLM ÉCRIT - propos2editions

Alain Jugnon

MALCOLM ÉCRIT
histoires de textes, de spectres et de putains

Le théâtre des matières 1
148 pages

ISBN 979-10-96252-36-7
prix 14 €

Contient un roman
de la pensée
soit
quelques longs poèmes combinés
en prose très politique
Théorie athée de la religion
Nouveau rapport sur le mal
L’écriture et la mort 
dans le désordre, 
sous le titre et le générique de
Malcolm écrit, 
pense et aime aussi.

Malcolm est ainsi une idée d’écrivain.

Le lac de l'Eychauda

Le lac de l'Eychauda - propos2editions

Blandine Jeannest

Le lac de l'Eychauda

suivi de

De la Seine à la scène

Le phare de Gatteville

Avec trois dessins de Damien Daufresne ainsi que la couverture

ISBN 979-10-96252-40-4

106 pages

13 €

 

CÉLÉBRATION DU CHEMIN

CÉLÉBRATION DU CHEMIN - propos2editions

Jean de Breyne

CÉLÉBRATION DU CHEMIN
mars, avril, mai 2020

74 pages

ISBN : 979-10-96252-32-9

18 mars 2020

Son émergence du mont à l’est  
Il frappe violemment le mur  
auquel immédiatement il se heurte
Nous faisions demi-tour
au buisson de buis
Après arrêts et regards
C’était un thé au thym

DUENDE

DUENDE - propos2editions

Jean de Breyne

DUENDE

158 pages

ISBN : 979-10-96252-34-3
14 €

« De nous aux mots », dit Mario Cesariny.
Ce peut être, dans les cieux, lancé
par les réacteurs vers la ville étrangère
devenue un jour amicale.

Dans ces maisons,
des entretiens avec des météores
« Il en est aussi passé par ici » –, déjà.
On ne compte plus ceux qui s’y sont arrêtés.
Qui-ont-pris-qui-ont-laissé.

Il dit qu’il est comme l’enfant,
qu’il aime ce sandwich chaud
donné au cours du voyage dans l’avion
et qu’il n’a encore jamais rencontré.

UNE FEMME HEUREUSE Tome 2 : Hiroshima de fleurs

UNE FEMME HEUREUSE  Tome 2 : Hiroshima de fleurs - propos2editions

Cécile Odartchenko

UNE FEMME HEUREUSE

Tome 2 :
Hiroshima de fleurs

196 pages
format 15x21 cm
ISBN 979-10-96252-33-6

22 €

Nadia (Nadej dans mon premier tome) m’avait rayée de la carte et du territoire pendant une cruelle semaine, mon mari l’avait fait à nouveau, lorsqu’elle était morte, pendant quelques jours, mais ce n’était qu’un exercice préparatoire, l’effacement le plus douloureux allait suivre, annoncé petit à petit et concernant mes tentatives d’écrire et donc de penser. Petit à petit, une bibliographie personnelle devait se construire, mais comme frappée d’interdiction, des livres, des éditeurs menacés disparaissant tour à tour, bien qu’à y regarder de près, elle était cohérente et s’était développée autour d’un noyau « dur ». Un sentiment d’étrangeté s’installant, j’hésitais à reprendre la plume – allais-je, comme Nerval, comme mon père, déranger les fantômes ? Ou bien, l’amour aidant, poser à nouveau sur le tapis les pièces du puzzle et admirer la fresque reconstituée, raccommodant mon « voile de Tanit » ?